A l’heure ou le soleil en termine d’écraser l’asphalte, quoi de meilleur que de prendre la route?
Laisser son envie dicter le parcours , s’enivrer de l’odeur des pins exaltée par la chaleur qui peu à peu décroit… les poumons brulent, les cuisses brulent mais les galéjades des potes encouragent à « s’arracher » à la pente… pour savourer au sommet enfin vaincu la quiétude de la fin de ces longues journées….
Bravo à Anke pour nous avoir supportés sur ce ride et à bientôt…